Je me mets à genou,
Mignonne, je vous envoie ce poème que ma main
Amoureuse a écrite simplement dans l’espoir
Imbécile que notre passion, ne touche jamais fin,
Las ! Toutes les roses se fanent si l’on les laisse choir
Y avez-vous déjà songé, mignonne, que votre beauté fleurie
Sera un jour flétrie, le temps court madame,
A point perdu pourtant vous êtes entrées dans ma vie,
Repoussant l’ennui, votre amour a transformé mon âme
Ne m’en voulez pas car tant que le soleil se lèvera tous les jours,
Amoureux d’une étoile, je ferai de même dans l’espoir
Utopique bien sur, de partager toute ma vie mon amour
Devant vous je me mets à genou pour rêver notre histoire.
Wolfgang
Traître légume,
L’âme encore innocente et engourdie, mais l’esprit furibond
Je veux avant tout, devant vous laver cet affront
J’écris aux sourds qui veulent bien me comprendre
Et je crie aux aveugles qui ne peuvent que m’entendre
Moi l’homme vertueux, poète des mendiants,
Défenseurs de la veuve, protecteur des enfants,
Je dénonce l’infamie qui sous mon propre toit,
Aujourd’hui a sévi et cela bien malgré moi
Il n’y a d’âmes plus vertueuses ni honnêtes,
Que celle de l’homme devant vous, humble poète
Pour moi le monde s’écroule autour de se crime odieux,
Qui a frappé mon logis, que je suis malheureux
Trahi de tout part jusqu’à dans mon entourage,
Je sors ma plume et dénonce non sans courage
L’infame bévue de l’homme voulant ma perte
Cuisinier de malheur, cette tomate est verte.
Wolfgang
Je vous en mettrais d'autres si vous êtes sage
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Dernière édition par Wolfgang le Ven 2 Mai - 21:45, édité 1 fois